The Share Players

Chaque année, c’est au mois de septembre que se joue l’un des duels les plus attendus de l’année vidéoludique : le traditionnel classico entre Fifa et PES. Pour la cuvée 2016 des deux opus, bonne nouvelle pour les fans de ballons ronds : le match est aussi tendu qu’un derby Grec entre l’Olympiakos et le Pana. Et pour cause, PES semble enfin en avoir fini avec ses vieux démons, en misant sur une prise en main intuitive, garantissant un fun immédiat sans oublier de la profondeur pour les puristes. Il lui reste toutefois des défauts à gommer, comme l’ambiance sonore ou des actions encore un peu scriptées, mais nous avons enfin un concurrent sérieux capable de titiller Fifa. Mais est-ce suffisant pour arrêter le rouleau compresseur d’EA Sports? En plus des licences, des mises à jour hebdomadaires, des modes de jeu pléthoriques et d’un netcode au poil, Fifa cette année met à l’honneur les femmes, un jeu beaucoup plus posé et une défense si musclée qu’il faudra vraiment cravacher pour marquer. Un côté trop simu

C’est certainement LE jeu de l’année, celui qui en tous cas nous a personnellement chamboulé pour le meilleur… mais aussi pour le pire. Metal Gear Solid V a rendu fou les internets pendant près de 3 ans, depuis le premier trailer qui cachait sa vraie nature à la séquence de fin, en passant par la fameuse scène 51, coupée au montage et qui laisse un goût amer à certains fans. MGS V c’est un Ogre, dont le développement houleux aura fini sur un triste divorce entre son développeur et son éditeur, ce qui explique peut-être que certains passages aient l’air bâclés ou survolés un peu rapidement. Mais derrière les critiques dithyrambiques sur son gameplay, son audace scénaristique, son twist final ou sa plastique irréprochable, peut-on quand même lui trouver des défauts? C’est donc à froid et avec un maximum d’objectivité que Yannick et Roman passent au crible l’un des projets les plus ambitieux jamais sortis. Quitte à parfois ne pas être tendre avec lui, malgré l’immense joie que MGS V nous a procuré pendant

Au 1er Août dernier, Nintendo se targuait d’avoir écoulé près de 15 millions de ses figurines Amiibo, en l’espace de 9 mois seulement. Des chiffres affolant, certes encore loin des 250 millions de Skylanders vendus en 4 ans, mais qui démontrent que Nintendo sait toujours rebondir au bon moment. Alors que la WiiU et la 3DS peinent à retrouver des bonnes dynamiques de vente, les figurines NFC s’écoulent elles tellement bien qu’il est toujours très difficile de se procurer certaines pièces, pourtant plusieurs fois rééditées ! A chaque nouvelle vague, le scénario est le même : des (dizaines de) milliers de fans se retrouvent fatalement face à la pénurie, obligés d’attendre un hypothétique réassort ou de payer 3 fois le prix de leur Amiibo chez des revendeurs peu scrupuleux. Certains murmurent tout haut que ce phénomène aurait été savamment calculé par la Nintendo pour entretenir le buzz… Devant cette énième success-story signée Nintendo et face aux rumeurs de ces supposées pénuries organisées, les Share Pl

Certains n’osent pas poser cette question, de peur d’être jugés, incompris, mis à l’écart : « Comment plonger dans un jeu aussi énorme que The Phantom Pain si l’on est passé à côté d’un ou de plusieurs épisodes? » Pas de panique, les Share Players sont là ! Il suffit de regarder cette vidéo où les Share Players reviennent en détail sur la chronologie d’une saga dont les évènements s’étalent sur près d’un siècle, de 1918 à 2014. Une fois l’histoire de Metal Gear assimilée, les Share Players passent en revue tous les épisodes sortis à ce jour, afin de mettre en avant leurs qualités ludiques, les nouveautés de gameplay de chaque opus et le contexte dans lequel ils sont sorties. Et pour nous accompagner, nous avons l’honneur d’accueillir Reddah, jeune Youtubeur fan de la franchise et qui va nous apporter son oeil expert sur certains points clés du scénario ou sur les spécificités de tel ou tel épisode. Il nous racontera également quelques anecdotes sympathiques, avant de conclure avec nous en proposant à nos

Les Share Players on les connait, ou l'on pense les connaitre, mais au fond, qui sont-ils ? Comment se sont-ils rencontrés? Est-il vrai qu'il avaient un groupe de rap dans les années 2000? Yannick est il milliardaire et Roman culturiste? Croient-ils en la réincarnation ? Que pensent-ils de l'équipe de football Belge, toujours hantée par le spectre d'Enzo Scifo? Et surtout, mettent-ils des slips ou des caleçons? Ha, ne vous inquiétez pas : on parle à quand même à 80% de jeux vidéo dans cette FAQ. Quand même.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

L'Allemagne c'est à nos yeux deux événements immanquables : l'Oktoberfest évidemment, mais aussi la Gamescom. Enfin surtout la Gamescom, un événement qui est monté en puissance d'années en années, pour devenir un salon incontournable malgré sa proximité avec l'E3. Hasard de calendrier, le timing entre les deux événements était drastiquement plus serré cette année. Est-ce pour cela que Sony a souhaité faire l'impasse sur Cologne, préférant de focaliser sur la Paris Games Week fin octobre? En tous cas, Microsoft avait donc un boulevard pour confirmer son très solide line-up des prochains mois... Quel est l'avis des Share Players sur cette cuvée 2015? Les constructeurs doivent-ils encore jouer le jeu sur deux salons internationaux séparés de seulement quelques semaines ? Réponse en vidéo !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Salut à tous ! Avec Roman, on profite de la sortie du sympathique Yoshi’s Wolly World pour faire le point sur le genre auquel il appartient, la plateforme 2D. Alors qu’il était le style phare dans les années 80/80, l’arrivée de la 3D l’a subitement mis placard, les jeux du genre s’étant fait extrêmement rares pendant de longues années. Ringardisée, synonyme d’une époque où l’on parlait en sprites et non en polygones, on croyait le game over définitif pour la plateforme 2D, condamnée alors à ne briller que lors de nostalgiques sessions de retrogaming. Et puis Nintendo a réussi le tour de force de le remettre au goût du jour, en ressortant ses licences maisons dans leur configuration d’origine. Mario, Kirby, Donkey Kong ou Yoshi, tous on eu droit à leur mouture 2D. Devant le succès de ces jeux au gameplay parfois vintage, Nintendo va enchaîner les sorties, pendant que la concurrence essaie timidement de se différencier, mais sans guère plus de succès que 20 ans plus tôt. Nintendo règne donc à nouveau seu

Alors que les sites internet spécialisés encaissent difficilement la chute des revenus publicitaires, forçant même certains historiques comme jeuxvideo.fr à mettre la clé sous la porte, Gamekult vient d'annoncer un changement dans leur modèle économique. Si les tests, news et émissions hebdomadaires restent libres d'accès, les articles de fonds, débats et autres vidéos spécialisées seront désormais réservés aux membres Premium. Moyennant 4,90 € par mois dans sa formule mensuelle, le site du groupe CUP Interactive espère ainsi moins dépendre de la pub que du soutien de ses lecteurs. Et pour muscler son offre, Yukishiro a su s'entourer d'une équipe aux compétences éclectiques, proposant des contenus variés et pointus. Le nouveau rédacteur en chef a fait aussi revenir Raggal, fondateur historique, et a débauché Virgile, qu'on ne présente plus. Il en résulte une offre solide, avec des articles pour le moment excellents, redonnant ses lettres de noblesse au métier de journaliste. A voir si le site sera régu

Les Share Players ont essayé une nouvelle formule pour enregistrer leurs frimousses, et ce qui ne devait être qu'un test de 5 minutes à usage privé s'est transformé en un débat sur... la Nintendo NX. Cet échange parfois houleux fait suite aux rumeurs sur le prix de la machine : alors que des fuites ont fait état d'une possible sortie à 150 €, que penser de cet éventuel positionnement tarifaire? Qu'est ce que cette rumeur peut nous apprendre sur la stratégie de Nintendo? Et d'un point de vue technologique, est-ce faisable de lancer une machine ambitieuse à ce prix là? Roman et Yannick ouvrent le débat !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Ca y est, l'E3 en 2015, c'est fini. Ce fut une cuvée extrêmement intense, certains y voyant même le "best ever". Les Share Players ont été conquis, mais plutôt que de faire un énième compte-rendu comme le font déjà tous les autres sites, nous avons décidé à la place de vous proposer nos "tops et flops" au travers de plusieurs catégories. Oui, comme dans la très sérieuse cérémonie des Escarres. Alors qui est le plus beau jeu du salon? Le plus moche? Le plus curieux? Le plus iconoclaste et désoxydé? Réponse en vidéo. Et n'oubliez pas : un debriefing d'E3 n'est pertinent qu'à condition d'analyser que l'absolu ne doit pas être annihilé par l'illusoire précarité de nos amours destituées. Ou quelque chose comme ça.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le moins que l’on puisse c’est que Nintendo est définitivement une entreprise à part. Alors que cet E3 2015 fut définitivement riche en annonces et émotions fortes, où la concurrence s’est illustrée pour séduire les joueurs, la firme de Kyoto a pris le parti de jouer aux Super Mario-nnettistes tout en tirant sur des ficelles de gameplay qui peinent à épater la galerie. Entre un StarFox qui n’a pas que de Zero le nom, un Legend of Zelda Triforce Heroes qui vient maladroitement compensé l’absence du prochain Zelda Wii U(?), une exploitation insultante de la licence Metroid sur 3DS, et deux opus d’Animal Crossing servant surtout de vitrines pour les Cartes (NFC) et Amiibos, c’est à croire que Nintendo a autant de mal à anticiper les attentes de ses propres joueurs que les ruptures de stocks répétées de ses figurines. Une chose est sûre, cette année Nintendo n’a pas volé le show, bien qu’il est assez spectaculaire de constater la manière dont Big N a « euthanasié » sa WiiU publiquement, mais rassurons-nous Sup

Yannick et Roman analysent à chaud les deux conférences des constructeurs, et donnent leur verdict sur qui de Sony ou de Microsoft mérite de "remporter l'E3 2015"... FIGHT !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Ca y’est, le sprint final vers l’E3 2015 est enfin lancé! Dans ce bal annuel des conférences, éditeurs et constructeurs mettent tout en oeuvre pour mener la danse vidéoludique de ces prochains mois. Pendant que Sony, Microsoft et Nintendo répètent leur partition, les Share Players donnent le ton au rythme de leurs attentes et prévisions Paco Rabannesques. Quant aux éditeurs tiers, ils auront à coeur de faire valoir leurs franchises dont certaines pourraient être mises en lumière par des liaisons consentantes, ou deal d’exclusivité, le temps d’une nuit ou d’une vie. Alors que certains leaks ont d’ores et déjà perturbé le déroulement de l’événement, à quels faits marquants, surprises ou twists sommes-nous en mesure d’assister? Microsoft brillera-t-il plus au travers de ses annonces chocs que par le fairplay inépuisable de Phil Spencer à l’égard de Sony? Ces derniers voleront-ils le show en dévoilant une de leur licence fantôme en la personne de The Last Guardian? Nintendo, à l’image de Splatoon, proposer

Ca y est, un an après sa présentation surprise à l'E3 2014, Splatoon est enfin sorti. Mais si la pressé spécialisée l'encense unanimement, les Share Players proposent, eux, une analyse plus mesurée. Si le jeu ne manque pas de qualité, il est aussi très limité sur d'autres aspects, victime notamment d'un contenu rachitique - pour le moment en tous cas. Roman et Yannick passent donc en revue la nouvelle licence de Nintendo, du solo au multi en passant par l'utilisation des Amiibo. Splatoon peut-il quand même devenir un must-have du genre, et aller chasser pistolet à peinture en main sur les terres de Call of Duty, auquel il emprunte certaines ficelles? Dans la seconde partie de l'émission, les Share Players embrayent sur leurs attentes concernant l'E3 de Nintendo. Alors que tout semble indiquer que la cuvée 2015 du plus gros salon de jeux vidéo sera calme pour Big N, la firme de Kyoto peut-elle quand même nous surprendre avec une ou deux cartouches inédites? Spoiler Alert: cette émission contient des pré

Avec un chiffre d’affaires record de 1,4 Milliards de dollars lors de la dernière année fiscale, Ubisoft a de quoi bomber le torse, et devrait envisager l’avenir sereinement. Mais étrangement, au lendemain de la présentation des bilans, la valeur boursière a chuté, l’actionnariat n’étant pas vraiment convaincu de la stratégie du géant français pour l’année qui vient. Et on leur donne raison : cette année, à part un enième Assassin’s Creed qui peine à soulever l’enthousiasme, seul Rainbow Six tentera de faire le siège des sapins à la fin de l’année. The Division, dont l’intérêt ludique reste encore à prouver, manquera lui les fêtes, et ce ne n’est certainement pas un Just Dance lessivé qui risque de compenser cette absence. A l’heure actuelle, ce Noël 2015 risque fort d’être le moins bon pour Ubi depuis un bon bout de temps. A moins qu’un triple A inédit vienne s’incruster à l’E3, pour une communication éclair avant une sortie fin novembre? Comment la société française a su se hisser parmi les 4 plus gros

Calmez-vous, rangez immédiatement les frondes, on va s’expliquer. Non, nous n’avons pas détesté GTA V. Au contraire, nous l’avons beaucoup apprécié ! Alors pourquoi ce titre « choc ? Pour amener nos auditeurs à soulever les bonnes questions. Car quand on l’analyse à froid, avec du recul, oui GTA V possède des défauts et on peut même le trouver limité sur certains aspects ! Véritable phénomène depuis sa sortie sur PS3 et Xbox 360 fin 2013, GTA V continue toutefois son époustouflante ascension au panthéon des plus gros succès de l'histoire du jeu vidéo. PS4 et Xbox One, puis plus récemment le PC, chaque support a droit à sa version, à chaque fois agrémentée de petits plus, toujours aptes à faire la différence. De quoi continuer à alimenter le mythe. Mais derrière le succès se cache avant tout un jeu, qu'il convient de décortiquer de façon objective et pragmatique pour mieux expliquer les raisons de sa réussite. A travers cette analyse, c'est l'avenir de la saga GTA qui est évoqué: est-ce que cette formule

1000 abonnés. Pour certains, ce n’est rien du tout. C’est peut-être même le nombre de gens qui les rejoignent par jour… mais pour nous, qui sommes partis de rien avec comme seule ambition de se faire plaisir, quelle fierté ! On ne se doutait pas que nos interminables conversations téléphoniques sur le jeu vidéo, qu’on a décidé de transformer en émissions bimensuelles, intéresseraient autant de monde ! Bon on a peaufiné la formule, on a partagé le temps d’antenne entre émissions, tests, gameplays découvertes, petits délires…. et la mayonnaise à pris ! C’est carrément cool, vous êtes 200 000 à avoir cliqué sur nos vidéos en l’espace de 6 petits mois. Le chiffre nous flatte, et vous êtes aussi de plus en plus sur nos pages facebook/twitter, et vous êtes aussi pas mal à nous écouter en podcast sur iTunes ou autres. Du coup, on s’est fait plaisir: on a fait une vidéo de remerciements ! Une vidéo sans images, mais l’actualité sanglante (finish him!) nous pousse à se focaliser -déjà- sur notre prochaine vidéo

Elle devait être riche en blockbusters, marquée notamment par les sorties de Quantum Break, Uncharted 4 et Zelda Wii U. Elle devait voir Evolve conquérir les joueurs après qu’il ait raflé tous les prix possibles. Elle aurait du couronner Kojima lors de la sortie de son chef d’oeuvre, le 5ème volet canonique des MGS. Elle aurait du permettre à Nintendo de surfer sur la bonne dynamique entamée en 2014… Et The Order 1664 devait faire l’unanimité. C’est en tous cas ce qu’on vous avait dit dans notre émission consacrée à nos attentes pour l’année 2015, consultable ici : https://youtu.be/ifMOqMxj364 . Mais non. Evolve a connu un -triste- destin à la Titanfall. Kojima et Konami divorcent dans la douleur. Nintendo a annoncé vouloir faire du jeu mobile, et donné le nom de code de sa prochaine console dans la foulée. The Order a divisé journalistes et joueurs, enfin surtout les journalistes. Et surtout, pléthore de titres sont repoussés, certains même à l’année suivante ! Si Project Cars ou Batman Arkham n’ont é

De Pong à Splatoon en passant par Counter Strike ou Fifa, le jeu vidéo à plusieurs est aussi vieux que le média, et a su résister brillamment aux mutations de l’industrie. Si jouer en local n’est malheureusement plus aussi populaire que jadis, les modes multijoueurs ont définitivement la côte… A tel point que des modes en ligne se sont même fait une place de choix dans des jeux qui n’en avaient définitivement pas besoin ! Toutefois, avec Assassin’s Creed Unity qui laisse tomber le PvP et The Order qui s’affranchit totalement de tout mode multi, les éditeurs semblent avoir retenu la leçon… Mais alors, quelle est la tendance à court terme pour les modes de jeu à plusieurs? Jeu en local, coop et parties en ligne, les Share Players sortent les livres d’histoire et les boules de cristal pour vous livrer 2 heures intenses de débat. A plusieurs, bien sur !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Après la disparition des magazines historiques, les sites spécialisés seront-ils les prochaines victimes d'une industrie qui essaye de plus en plus de se passer d'eux? Les youtubers et les twitchers auront-ils la peau des jeuxvideo.com et autres, en proie à une crise d'audience inédite depuis la création d'internet? Tensions entre les rédactions, populisme, radicalisation, courses au clic… Où va donc la presse spécialisée ? De Player One à Cyprien en passant par Gameblog, Joypad et DiabloX9, retour sur 25 ans de presse jeu vidéo.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.